Cette attitude de la Russie vient mettre un terme (provisoire) à la rivalité opposant ce pays à l’Arabie saoudite, le membre le plu jnfluent de l’OPEP, pour conserver- augmenter chacune ses parts de marché.
Hier mercredi, après avoir gagné jusqu’à 5% en séance, le baril de brut WTI a terminé en hausse de 2,7% à 32,30$ à New York, pour les contrats à terme du mois de mars. Cette hausse venait s’jouter à celle enregistrée la veille (+3%). Elle n’a pas été empêchée, observe le site économique Boursier.com, par l’annonce d’une nouvelle forte hausse des stocks hebdomadaires de pétrole américains, passés de 8,4 millions de barils lors de la semaine close au 22 janvier, à 494,9 millions de barils.
Selon Bouriser.com, c’est la disposition exprimée par la Russie mercredi à coopérer avec les l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) pour éponger l’excédent d’offre mondiale, qui explique cette hausse sensible quoi que fragile.
Cette nouvelle attitude de la Russie vient mettre un terme (provisoire) à la rivalité l’opposant à l’Arabie saoudite, le membre le plus influent de l’OPEP, pour conserver-augmenter chacune ses parts sur un marché de plus en plus plongé dans le marasme. Cependant, indique encore Boursier.com, c’est « le dernier coup de tabac sur les cours du brut, tombés sous les 27$ le baril le 20 janvier (qui) semble avoir fait bouger un peu les lignes, les « majors » russes produisant nettement à perte aux prix actuels ».