La CONECT estime que ce genre de dispositions crée une instabilité réglementaire et constitue un obstacle pour les opérateurs économiques des deux pays.
La décision relative à l’imposition d’une nouvelle taxe aux transporteurs algériens à leur entrée sur le territoire tunisien d’une valeur de 200 dinars, constitue une nouvelle entrave aux échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie, estime la CONECT.
Pour chaque entrée sur le territoire tunisien, les conducteurs de camions ou bus venant d’Algérie doivent payer cette taxe dans tous les postes frontaliers algéro-tunisiens à caractère commercial. La CONECT estime que ce genre de dispositions crée une instabilité réglementaire et constitue un obstacle pour les opérateurs économiques des deux pays.
La conjoncture actuelle nécessite une batterie de mesures de facilitation et de soutien en faveur des opérateurs économiques afin d’augmenter le volume des échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie.
La CONECT appelle les autorités concernées à lever ces entraves à l’export qui freinent le développement de la PME tunisienne à l’international.