L’association patronale dirigée par Ali Haddad veut attirer les investisseurs étrangers en leur présentant les « succes stories » algériennes.
Le Forum des chefs d’entreprise (FCE) est en train de déployer des efforts à l’étranger, notamment en France, pour promouvoir la destination Algérie et attirer des investisseurs. C’est la voie par laquelle il entend contribuer à sortir l’Algérie de la crise dans laquelle elle se débat depuis des années.
En effet, en collaboration avec Les Echos, le FCE organise le 13 septembre 2018 à Paris une matinée-débat sur «les nouvelles dynamiques entrepreneuriales algériennes ». Lors de cette rencontre, le président du Forum, Ali Haddad, présentera la situation générale de l’économie algérienne en mettant l’accent sur les atouts qu’elle présente.
M. Hakim Soufi, P-DG de Macirvie échangera avec M. Alain Assouline, président de l’école WebForce3, sur les meilleures pratiques dans la recherche de la croissance, et la création des nouveaux métiers de l’économie de demain. De leur côté, les très dynamiques Amor Haber, P-DG du groupe Faderco et Djamel Guidoum, P-DG d’Iris, parleront de leurs parcours de chefs d’entreprise en Algérie ainsi que des voies et moyens qu’ils ont empruntés pour réussir dans l’environnement des affaires algérien pourtant réputé jonché d’embuches.
La matinée sera clôturée par un témoignage sur le rôle des jeunes entrepreneurs de la « nouvelle Algérie » à savoir M. Mohamed Skander, président de Jil’FCE et M. Fabrice Le Sache, vice-président et porte-parole du MEDEF.
Il y aura également à cette occasion, nous apprend un communiqué du FCE, des débats sur les mutations économiques et les nouvelles dynamiques entrepreneuriales animés par M. Arnaud Le Gal, directeur de publication aux Echos ainsi que M. Jean-Philippe Duval, de Global public finance de PwC, M. Régis Arnoult, président de Catering International Services (CIS), M. Ahmed Tibaoui et Mme Nacera Haddad, vice-présidents du FCE, qui s’interrogeront sur « comment l’Algérie favorise un écosystème permettant le développement et l’implantation des entreprises du secteur privé ? ».