Le patrondu Conseil national économique et social (CNES), Redha Tir, a déclaré ce lundi que l’économie algérienne est confrontée à des difficultés et a besoin de réformes structurelles urgentes.
Lors de son passage l’Emission » L’invitée de la matinée » de la chaîne I de la radio nationale, le président du CNES a souligné que la crise économique actuelle ne mènera pas à l’effondrement de l’économie, considérant que » l’Algérie cherche dans sa configuration économique actuelle à reprendre le chemin de l’industrialisation selon les normes internationales « .
Selon Redha Tir, cette vision » permettra de mettre fin aux monopoles et de contribuer à réduire les coûts et Prix des produits « , mais également, ajoute-t-il, » contribuera à une amélioration de la qualité et la compétitivité des produits « .
Dans le même contexte, le premier responsable du CNES a souligné que des travaux sur les réformes structurelles » ont été entamés pendant la période du confinement due à l’épidémie du Coronavirus, menée par le ministère de l’industrie « .
En revanche, le responsable considère que la numérisation de l’administration est une priorité pour » améliorer l’image de l’Algérie en tant que destination d’investissement prometteuse « .
Pour ce qui est des accords internationaux paraphés par l’Algérie, le président du CNES a pense qu’il faut en profiter. Par contre, il a mis en garde » contre les dangers qui résulteraient de ces accords dans le cas où la loi d’interférence écologique introduites par les principaux pays, serait un outil pour s’ingérer dans les affaires du pays « .