L’ Union Démocratique et Sociale, parti crée en 2013 et qui n’a toujours pas obtenu son agréement, estime que dans ces « moments de grandes confusions politiques où un flou artistique savamment orchestré est dressé devant nous, il est important et crucial de garder la tête froide et de ne pas succomber aux chants des sirènes. », rapporte Radio M, qui cite un communiqué publié sur sa page Facebook.
L’UDS qui condamne le sort qui lui est réservé rappel que son « coordinateur national, le camarade Karim TABBOU se trouve injustement incarcéré parce qu’il rêvait, comme nous tous, d’une nouvelle Algérie »
« Nous sommes déterminés à serrer les rangs et exigeons la libération immédiate du camarade Karim TABBOU et son rétablissement au droit à l’exercice de la politique. », affirme l’UDS
« Nombreux sont ceux qui subissent le même sort pour avoir exprimé leurs opinions, leurs idées…l’union démocratique et sociale apporte son soutien indéfectible à tous ces détenus politiques et d’opinions et exige leur libération sans conditions. », s’engage le parti de Karim Tabbou.
S’exprimant devant la presse nationale en début de semaine, le porte-parole de la Présidence, Mohand Belaid Oussaid, avait confirmé que « ce qui avait été rapporté dans le communiqué de Soufiane Djilali était vrai ». Pour rappel, le président du parti « Jil Djadid » avait laissé annoncé avoir récemment échangé avec le chef de l’Etat, concernant éventuelle libération de Karim Tabbou et de Samir Benlarbi.
Oussaid a ajouté que le président Abdelmadjid Tebboune avait « effectivement promis d’étudier la demande de libération de certains noms, dans le cadre de ses prérogatives constitutionnelles et le respect de l’indépendance des décisions de la justice ».
Avec Radio M