Plusieurs partis politique, principalement de gauche, ont réagi et condamné la sentence du prononcé contre le journaliste Khaled Drareni, condamné ce lundi par le tribunal de Sidi M’hemed à 3 ans de prison ferme et 50 000 Da d’amande.
« Avec la condamantion du journaliste Khaled Drareni à 3 ans de prison ferme, sur la base des accusations imaginaires, la répression politique, avec l’instrumentalisation de la justice et des magistrat, a atteind des niveaux intolérables et inacceptables », s’indigne le président du parti Rassemblement pour la culture et la démocratie, Mohcine Belabbas.
Pour sa part, Zoheir Rouis, membre du conseil politique de Jil Jadid, a exprimé sa « solidarité avec tous les journalistes et toutes les voies libres injustement privées de leur liberté ». Il a qualifié le verdict prononcé contre Khaled Drareni de « décisions de justice privatives de liberté ».
Pour le secrétaire national du MDS, Fethi Ghares, « l’incapacité et la faiblesse est sous nos yeux après l’emprisonnement de Khaled Dararni, le journaliste et citoyen. Il est emprisonné pour rien, mais seulement parce qu’il a choisi d’être l’un des titres de liberté en Algérie ».
Le secrétariat permanent du bureau politique du Parti des travailleurs, a de son également réagi en disant qu’il « partage l’indignation l’émoi et la consternation qui ont frappé la corporation des journalistes ». Pour le Parti des Travailluers (PT) de Louisa Hanoune, « la condamnation de Khaled Drarni équivaut la condamnation de toute la presse et de toute opinion libre ». » Il ne peut y avoir de démocratie sans pluralisme politique et sans liberté de presse », lit-on dans le communiqué du PT.