« Le programme algérien est très ambitieux, mais il faudrait passer à la phase de lancement et de réalisation ».
Schneider Electric Algérie mise sur la formation et annonce l’ouverture de trois centres de formation à Bejaia, Tizi Ouzou et Sidi Bel Abbes au courant de cette année 2018. Ce n’est pas tout, le géant mondial des équipements électrique est prêt à travailler en partenariat avec l’Etat algérien dans l’ambitieux programme de développement des énergies renouvelables, en participant en fournissant les équipements nécessaires en plus de la formation des ressources humaines. C’est ce qu’a déclaré le président directeur général du groupe en marge du salon international de l’Electricité et des énergies renouvelables à la Safex à Alger.
Akli Brihi a annoncé « l’ouverture cette année de deux unités de production d’équipements électriques, notamment les disjoncteurs pour transformateurs de moyenne et basse tension ». « La première unité sera mise en service durant le printemps prochain, et la seconde, en partenariat avec deux entreprises publiques, sera mise en service fin 2018 », a-t-il ajouté.
Pour ce qui est du programme des énergies renouvelables, annoncé par l’Etat, le premier responsable de Schneider Electric Algérie a souligné que « le programme algérien est très ambitieux, mais il faudrait passer à la phase de lancement et de réalisation ».
Akli Brihi parle aussi (voir vidéo) des programmes de l’entreprise qu’il dirige et des investissements dans les énergies renouvelables en Algérie.