Défendant l’option du développement de l’aquaculture, le ministre a rappelé que les réserves des ressources halieutiques dans le bassin méditerranéen étaient « limitées » et « partagées par 23 pays ».
Selon le ministre algérien de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chalgoum, la production halieutique de l’Algérie stagne à 100.000 tonnes/an, soit la moitié de la demande, estimée, elle, à 200.000 tonnes/an.
S’exprimant hier à Alger devant des professionnels du secteur, Abdesselam Chalgoum a indiqué, rapporte Algérie Presse Service, que 122 projets d’investissements répartis sur l’ensemble du territoire algérien étaient finalisés et validés par les commissions techniques relevant du secteur.
Taha Hamouche, le directeur général de la Pêche et de l’Aquaculture auprès du ministère de l’Agriculture et de la Pêche, a assuré, de son côté, que 2.500 microprojets étaient en phase de finalisation.
Défendant l’option du développement de l’aquaculture, le ministre a rappelé que les réserves des ressources halieutiques dans le bassin méditerranéen étaient « limitées » et « partagées par 23 pays ».
Le développement de l’aquaculture, a ajouté Abdesselam Chalgoum, est un des objectifs poursuivis par les projets d’investissement en cours dans le secteur.