Selon une étude de l’OPEP, l’ordre d’importance des différentes énergies dans le mix énergétique global était la suivant en 2015: le pétrole (31,3%), le charbon (28,3%), le gaz (21,5), la biomasse (10,1%), le nucléaire (4,9%), l’énergie hydroélectrique (2,5%) et les renouvelables (1,4%).
Selon une étude de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole intitulée World Oil Outlook 2040, la part du gaz naturel dans le mix énergétique mondial passera d’environ 21,5% en 2015 à 23,5% en 2030 et à 25,1% en 2040.
Ainsi, indique l’étude, en 2040, le gaz naturel sera la deuxième composante la plus importante de ce mix, après le pétrole (27,1%) et devant le charbon (23,2%), la biomasse (10%), le nucléaire (6,4%), les énergies renouvelables 5,4%) et, enfin, l’énergie hydro-électrique (2,8%).
D’après cette même étude, l’ordre d’importance des différentes énergies dans le mix énergétique global était la suivant en 2015: le pétrole (31,3%), le charbon (28,3%), le gaz (21,5), la biomasse (10,1%), le nucléaire (4,9%), l’énergie hydroélectrique (2,5%) et les renouvelables (1,4%).
L’étude de l’OPEP montre, outre la stabilité du pétrole en première position en 2030 et 2040, la forte croissance de la part du renouvelable dans le mix énergétique global. Cette part devrait passer de 1,4% en 2015 à 3,8% en 2030 et à 5,4% en 2040. La part du nucléaire dans ce mix connaîtra elle aussi une croissance non négligeable : elle devrait passer de 4,9% en 2015 à 5,9% en 2030 et à 6,4% en 2040.
La part de la biomasse restera presque stable (10,1% en 2015 et 10% en 2030 et 2040), selon les prévisions de l’OPEP. Une très légère croissance est prévue concernant la part de l’énergie hydro-électrique dans le mix énergétique mondial (2,5% en 2015, 2,6% en 2030 et 2,8% en 2040).