Le FMI prévoit pour l’économie algérienne une croissance de 3,4% en 2016 et de 2,9% en 2017. La croissance du PIB réel algérien, d’après ses statistiques, a atteint 3,9% en 2015.
Pour Adnan Mazarei, le directeur-adjoint du département Moyen-Orient et Asie centrale auprès du Fonds monétaire international (FMI), l’Algérie n’a pas besoinactuellement de l’assistance financière de cette institution, et ce, bien que sa situation financière et économique ne soit « pas facile » et soit « presque similaire » à celle que vivent tous les pays exportateurs de pétrole.
Selon M. Mazarei, qui s’exprimait hier à Alger à l’issue d’une rencontre avec le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Ali Haddad, et dont la déclaration a été rapportée par Algérie Presse Service, les dirigeants algériens « comprennent très bien la nature des défis auxquels l’Algérie doit faire face actuellement ».
Le FMI prévoit pour l’économie algérienne une croissance de 3,4% en 2016 et de 2,9% en 2017. La croissance du PIB réel algérien, d’après ses statistiques, a atteint 3,9% en 2015.