Selon Tahar Allache, le PDG de la Société de gestion des services infrastructures et aéroportuaires (SGSIA), si le coût total de cette aérogare est estimé, pour le moment, à 80 milliards de dinars, au lieu de 74 milliards initialement prévus, c’est à cause de la dépréciation du dinar, une partie des coûts étant libellés en devises étrangères. La société, a-t-il rassuré, est en mesure de prendre en charge cet écart.
La nouvelle aérogare de l’aéroport international d’Alger sera livrée entre avril et juin 2018, a indiqué aujourd’hui à la chaîne 1 de la Radio publique algérienne, Tahar Allache, le PDG de la Société de gestion des services infrastructures et aéroportuaires (SGSIA).
La nouvelle aérogare n’entrera, cependant, en exploitation qu’au moins trois mois après sa livraison, le temps d’effectuer les tests nécessaires, a ajouté, M. Allache, qui était l’invité de l’émission de la Chaîne 1 « Dayf Al Sabah » (L’invité du matin).
Cette infrastructure, a précisé le PDG de la SGSIA, aura une capacité de 10 millions de passagers/an, soit presque l’équivalent de la capacité de l’aérogare actuellement en exploitation (quelque 12 millions de passagers/an). Elle disposera d’un parking prévu pour 4.500 véhicules.
Selon Tahar Allache, si le coût total de la nouvelle aérogare est estimé, pour le moment, à 80 milliards de dinars, au lieu de 74 milliards initialement prévus, c’est à cause de la dépréciation du dinar, une partie des coûts étant libellés en devises étrangères. La société, a-t-il rassuré, est en mesure de prendre en charge cet écart.
Tahar Allache a tenu à préciser que la construction de la nouvelle aérogare est financée grâce à un crédit bancaire contracté par la SGSIA et non pas par le Trésor public.