Au début de la révolution tunisienne, l’Allemagne a témoigné son intérêt pour la région et l’à exprimé davantage après la crise des réfugiés en 2015.
Selon Isabelle Warenfels, chercheur et membre de l’Institut allemand des affaires internationales « avant 2011, il était très difficile de pousser la classe politique allemande à s’intéresser aux questions liées au Maghreb, parce que, pour elle, la région était la chasse gardée de la France et de l’Espagne ».
Intervenant sur Radio M, la représentante du Think Tank allemand des affaires internationales ajoute qu’à l’entame de la révolution tunisienne, « l’Allemagne a témoigné son intérêt pour la région et l’à exprimé davantage après la crise des réfugiés en 2015 ». A noter que cet intérêt « a aboutit à un partenariat dans plusieurs domaines avec Tunisie ». Une démarche qui a été, ensuite, élargie vers d’autres pays du Maghreb comme l’Algérie et le Maroc.