Le groupe LafargeHolcim Algérie a réalisé 7 opérations d’exportation de ciment vers l’Afrique de l’Ouest depuis décembre 2017.
Le groupe cimentier LafargeHolcim Algérie mise sur 4 objectifs pour l’année 2018. « Maintenir le cap sur les exportations pour attendre l’objectif de 2 millions de tonnes d’ici 2020, améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments à travers la nouvelle solution de LafargeHolcim AIRIUM pour l’isolation thermique, continuer la construction des routes plus vite et moins cher avec la solution ARDIA 600 et enfin, valoriser des cimenteries à travers le programme Geocycle, une gestion intégrée des déchets », a indiqué dimanche, Serge Dubois, responsable des relations publiques et communication de LafargeHolcim Algérie, lors d’un Iftar organisé en l’honneur de la presse nationale.
Pour Serge Dubois, « la responsabilité du groupe LafargeHolcim est d’assurer des débouchés commerciaux pour exporter l’excédent de production du ciment». Il a ajouté que le marché cible actuel est celui de l’Afrique de l’Ouest qui est d’une capacité de 15Mt/an. « Le marché est très compétitif et nous devons nous unir pour être valorisés et apprécié sur le marché international », poursuit le responsable des relations publiques.
Il faut rappeler que le groupe LafargeHolcim Algérie a réalisé 7 opérations d’exportation de ciment vers l’Afrique de l’Ouest depuis la première opération réalisée le 7 décembre 2017. « La force du groupe sur les marchés internationaux est « LafargeHolcim Trading » qui assure une base clients et une logistique sûre », souligne Serge Dubois.
De son côté, Karima Fariha, chargée de l’activité Geocycle et développement durable au sein du groupe cimentier, a souligné que « l’utilisation des fours des cimenteries est une solution utilisée partout dans le monde. Elle permet une destruction complète des déchets sans nuire à l’environnement ». Et de préciser que le groupe utilise deux procédés qui sont « la co-procession et la co-incinération et se sont deux solutions alternatives au décharges sauvages et aux CET (centres d’enfouissement technique) ».