Le ministre de la Transition énergétique et des Energies renouvelables, Chems Eddine Chitour, a mis l’accent, hier à Alger, sur l’impérative rationalisation de la consommation énergétique en vue d’écarter tout éventuel recours à la l’importation de carburants en 2021.
Le pays est dans l’obligation d’atteindre 50% de consommation des énergies renouvelables d’ici 2030, ce qui requiert toute une préparation pour cette transition en passant par la modernisation des systèmes et équipements et l’introduction des énergies renouvelables dans les programmes scolaires.
Cette opération doit être encadrée, cependant, par des textes réglementaires, soumise à l’étude et vulgarisée pour les citoyens afin d’aboutir à des lois appropriées.
La transition énergétique requiert « une révision et une étude rigoureuse des prix des énergies », d’où l’impératif de mettre en place des mesures de subvention au profit des franges vulnérables en les obligeant, bien entendu, à éviter le gaspillage et en imposant des tarifs abordables pour les catégories aisées.
Il faudra également fixer des tarifications en fonction des types de ménages, de groupements, de véhicules etc.
Avec APS