Un rassemblement à Adrar à l’occasion du 44è vendredi du Hirak.
à Bouira, les manifestants disent non au dialogue avec Tebboune.
La mobilisation n’affaiblit pas à Skikda.
A Médéa, le froid n’a pas empêché des dizaines de personnes de marcher.
Tsunami populaire dans la ville de Tizi Ouzou.
A Ouargla, les manifestants refusent d’êtes gouvernés par Abdelmadjid Tebboune.
Des centaines de personnes marchent dans les rues de la ville de Blida, contre le pouvoir et l’élection de Tebboune.
Plusieurs milliers de Sétifiens dans la rue au 44è vendredi du Hirak.
Une foule nombreuse dans la ville de Jijel.
La mobilisation au rendez-vous dans la ville de Biskra.
Des milliers de manifestants dans les rues de la ville d’Oran.
Des marcheurs à Ain Beida ne reconnaissent pas Abdelmadjid Tebboune en tant que président de l’Algérie.
Forte mobilisation à Annaba.
Les marcheurs à Constantine refusent tout dialogue avant la libération des détenus d’opinion.
Une importante marche à Bejaia pour exiger le départ de tout le régime.
A Guelma, les manifestants ne reconnaissent pas le président Tebboune.
Oran : début de rassemblement à Place d’Arme. Couscous, lait cailler, et boissons pour les manifestants.
13H50: début des manifestations du 44 ème vendredi, à la rue Didouche Mourad à Alger.
13H00: une grande foule se regroupe à hauteur de la rue Didouche Mourad.
12H30: Les premiers manifestants commencent à marcher à la rue Didouche Mourad.
Un dispositif sécuritaire renforcé à la place Audin.
11H30: Des dizaines de manifestants commencent à affluer à la rue Victor Hugo et à la mosquée Errahma à Alger centre.
Ce 44ème vendredi de la Silmya, est le premier vendredi sous l’ère de Abdelmadjid Tebboune, nouveau président de le République. Un président qui a lancé un appel au dialogue au lendemain de son élection, avec sa « main tendue au Hirak ». Ou encore, les premières mesures prises le jour de son investiture avec le limogeage du ministre qui a insulté les Algériens qui rejetaient les élections, et aussi le départ de Noureddine Bedoui, le dernier des B.
Mais ceci est-il suffisant pour apaiser la tension de la rue par le seul fait du départ de ces responsables, ou encre un discours d’investiture, qui a décliné les priorités de Tebboune, dont la révision de la Constitution et de la loi électorale, et quelques promesses et engagements économiques et sociaux ?
Lors de ce 44ème vendredi de la Selmya, nous saurons ce que pense le Hirak, du discours de Abdelmadjid Tebboune et de ses premières mesures.