Durant l’année 2017, l’Espagne a été le troisième client de l’Algérie avec un montant de 4,1 milliards de dollars d’importations, et son 5ème fournisseur avec 3,1 milliards de dollars d’exportations.
Les relations politiques et les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Espagne sont satisfaisants, mais l’investissement espagnol en Algérie n’est pas encore à la hauteur des attentes. C’est l’idée sur laquelle sont tombés d’accord le Premier ministre, Ahmed Ouyahia et son homologue espagnol Mariano Rajoy, en visite, hier, en Algérie, à l’occasion de la 7ème session de la Réunion bilatérale algéro-espagnole de Haut niveau.
Ahmed Ouyahia a plaidé, à cette occasion, pour le renforcement des relations entre les deux pays mais avec, en prime, une révision à la hausse des investissements espagnols en Algérie. Un appel immédiatement relayé par le président du gouvernement espagnol qui a invité les opérateurs de son pays à s’engager davantage sur le terrain en Algérie à travers le lancement de projets dans différents domaines d’activité.
L’Algérie ayant décidé de réduire ses importations, les entreprises espagnoles sont ainsi conviées à exploiter une nouvelle possibilité d’affaire. Sur le plan commercial, l’Espagne a gagné du terrain durant les deux premiers mois de l’année en cours en ce classant en deuxième position parmi les clients de l’Algérie, supplantant l’Italie.
Durant l’année 2017, l’Espagne a été le troisième client de l’Algérie avec un montant de 4,1 milliards de dollars d’importations, et son 5ème fournisseur avec 3,1 milliards de dollars d’exportations.