La promulgation du nouveau code de l’investissement semble avoir boosté les investissements étrangers. Dans ce cadre, le DG de l’Agence algérienne de promotion des investissements (AAPI) vient de révéler le nombre des projets enregistré au niveau de cette agence.
Dans une déclaration à la presse, en marge du forum international sur « Le rôle de l’avocat dans l’accompagnement des investissements et le règlement des conflits », le DG de l’AAPI, Omar Rekach, a indiqué que le volume de l’investissement étranger enregistré auprès de l’agence s’élève à 31 projets.
« Le nombre de projets d’investissement enregistrés au niveau de l’agence a atteint 852 projets, tandis que le guichet unique de l’agence pour les grands projets et investissements étrangers a enregistré 31 projets », a affirmé le premier responsable de l’AAPI.
Rekach a expliqué qu’outre ces projets, enregistrés depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur les investissements, le 1er novembre 2022, 152 autres projets d’investissement ont été également enregistrés et sont actuellement à l’étude. « Les investisseurs devant obtenir leur certificat d’enregistrement au cours de cette semaine », a-t-il ajouté.
Concernant les projets d’investissement étrangers enregistrés au niveau du guichet unique, 21 projets sont en partenariat avec l’Algérie, alors que 10 projets sont liés aux investissements directs étrangers (IDE), selon le même responsable.
Par ailleurs, le DG de l’AAPI a indiqué que la nouvelle agence a hérités de l’ex-Agence nationale pour le développement des investissements (ANDI) pas moins de 5 000 projets en cours d’achèvement. Il a souligné, à ce propos, que ses services accompagnent les propriétaires de ces projets pour accélérer leur entrée en exploitation.
Rekich a également indiqué qu’il existe un grand nombre de grands projets liés à tous les secteurs auxquels l’État accordE une grande importance et priorité dans le cadre de sa nouvelle stratégie. « En particulier, ceux qui portent une valeur ajoutée et contribuent à un développement régional équilibré », a-t-il précisé. Il a ajouté que la part du lion de ces investissements revient au secteur industriel, notamment manufacturier, alimentaire et autre.