Selon deux sources au sein de l’Opep+, l’Arabie saoudite et la Russie sont d’accord pour prolonger cette réduction jusqu’à fin juillet, mais Ryad souhaite une extension jusqu’à fin août.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires du groupe Opep+ discuteront samedi d’une prolongation de l’accord de réduction des extractions de brut et des moyens visant à renforcer le respect de l’actuel accord par des pays comme l’Irak et le Nigeria.
En avril dernier, pour enrayer la baisse des cours de l’or noir tombé à 16 dollars le baril, l’Opep, la Russie et d’autres pays producteurs de premier plan se sont entendus pour réduire leur production de 9,7 millions de barils par jour – à compter du 1er mai et pour deux mois -, soit près de 10% de la demande mondiale, dans le cadre d’un accord jugé historique.
Les discussions prévues samedi se tiendront d’abord entre membres de l’Opep avant d’être élargies aux partenaires du cartel, a précisé une source au sein de l’Opep+.
D’après trois sources proches de l’Opep, les discussions seront subordonnées à un respect plus important de l’actuel accord, les pays n’ayant pas atteint leurs objectifs devant en outre s’engager à des coupes plus importantes entre juillet et septembre.
L’Irak, dont le taux de conformité à l’accord a été de seulement 38% selon une enquête Reuters publiée le mois dernier, a accepté cet effort supplémentaire, ont déclaré ces sources.
D’après une autre source de l’Opep, Bagdad a expliqué son faible taux de conformité par des problèmes techniques et un remaniement récent au sein du gouvernement.
Vers 10h15 GMT, le baril de Brent LCOc1 s’échangeait à 41,18 dollars, en hausse de 2,98%, tandis que le brut léger américain WTI CLc1 prenait 2,3% à 38,27 dollars.Réunion de l’Opep+ samedi sur une extension de l’accord de réduction de la production
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires du groupe Opep+ discuteront samedi d’une prolongation de l’accord de réduction des extractions de brut et des moyens visant à renforcer le respect de l’actuel accord par des pays comme l’Irak et le Nigeria.
En avril dernier, pour enrayer la baisse des cours de l’or noir tombé à 16 dollars le baril, l’Opep, la Russie et d’autres pays producteurs de premier plan se sont entendus pour réduire leur production de 9,7 millions de barils par jour – à compter du 1er mai et pour deux mois -, soit près de 10% de la demande mondiale, dans le cadre d’un accord jugé historique.
Selon deux sources au sein de l’Opep+, l’Arabie saoudite et la Russie sont d’accord pour prolonger cette réduction jusqu’à fin juillet, mais Ryad souhaite une extension jusqu’à fin août.
Les discussions prévues samedi se tiendront d’abord entre membres de l’Opep avant d’être élargies aux partenaires du cartel, a précisé une source au sein de l’Opep+.
D’après trois sources proches de l’Opep, les discussions seront subordonnées à un respect plus important de l’actuel accord, les pays n’ayant pas atteint leurs objectifs devant en outre s’engager à des coupes plus importantes entre juillet et septembre.
L’Irak, dont le taux de conformité à l’accord a été de seulement 38% selon une enquête Reuters publiée le mois dernier, a accepté cet effort supplémentaire, ont déclaré ces sources.
D’après une autre source de l’Opep, Bagdad a expliqué son faible taux de conformité par des problèmes techniques et un remaniement récent au sein du gouvernement.
Vers 10h15 GMT, le baril de Brent LCOc1 s’échangeait à 41,18 dollars, en hausse de 2,98%, tandis que le brut léger américain WTI CLc1 prenait 2,3% à 38,27 dollars.