Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet valait 48,85 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, contre 31,18 dollars le vendredi précédent. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en juin, dont c’est le dernier jour de cotation, montait à 47,99 dollars, contre 30,46 dollars une semaine plus tôt.
Les cours des matières premières ont connu une trajectoire particulièrement volatile la semaine dernière :un temps soutenus en début de semaine par la bonne tenue des marchés boursiers, ils ont déchanté à la fin, sur fond de nette appréciation du dollar, avant de se reprendre dans le sillage d’un pétrole revigoré.
Les cours du pétrole ont fini la semaine sur une note haussière toujours soutenus par des perturbations d’approvisionnement.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet valait 48,85 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, contre 31,18 dollars le vendredi précédent.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en juin, dont c’est le dernier jour de cotation, montait à 47,99 dollars, contre 30,46 dollars une semaine plus tôt.
Le sucre a accru ses gains la semaine dernière, toujours porté par les prévisions de déficit, tandis que le café a été pénalisé par le renforcement du dollar et le cacao a souffert d’une amélioration des conditions de récolte.
Les cours du sucre ont consolidé leurs gains, avant de nettement bondir vendredi, signant de nouveaux plus hauts en près de deux ans.
Contrairement aux autres matières premières, le sucre s’est ainsi montré relativement insensible à la nette appréciation du dollar en fin de semaine, restant toujours soutenu par des prévisions de déficit pour les saisons 2015/2016 et 2016/2017.
A Londres, la tonne de SUCRE BLANC pour livraison en août valait 484,60 dollars, contre 479,80 dollars le vendredi précédent. A New York, la livre de SUCRE BRUT pour livraison en juillet valait 17,23 cents, contre 16,81 cents sept jours auparavant.
Les cours du café ont décliné, plombés à partir de mercredi par l’appréciation du dollar consécutif au compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Sur le Liffe de Londres, la tonne de ROBUSTA pour livraison en juillet valait 1.658 dollars vendredi, contre 1.677 dollars le vendredi précédent.
Sur l’ICE Futures US de New York, la livre d’ARABICA pour livraison en juillet valait 125,40 cents, contre 129,15 cents sept jours auparavant.
Les prix du cacao ont baissé en début de semaine avant de parvenir à se stabiliser, évoluant dans de faibles marges alors que la récolte de la saison en cours s’annonce finalement plus prometteuse que prévu.
A Londres, la tonne de CACAO pour livraison en juillet valait 2.142 livres sterling, contre 2.206 livres sterling le vendredi précédent. A New York, la tonne pour livraison en juillet valait 2.913 dollars, contre 2.987 dollars sept jours plus tôt.
Les cours du maïs et du soja ont augmenté à Chicago, profitant des inquiétudes persistantes sur les récoltes sud-américaines et d’un temps mitigé aux Etats-Unis, et ont entraîné avec eux les prix du blé.
Le boisseau de blé pour juillet, valait 4,6775 dollars contre 4,6500 dollars auparavant (+0,59%).
Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison en juillet, le contrat le plus actif, a terminé vendredi à 3,9450 dollars contre 3,8200 dollars en fin de semaine précédente (+3,27%).
Le boisseau de soja pour juillet, là encore le plus échangé, coûtait 10,7425 dollars contre 10,5500 dollars précédemment (+1,82%).
L’or a creusé ses pertes, à l’image de l’argent, pâtissant du net renforcement du dollar consécutif au compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).
Sur le London Bullion Market, l’once d’or a terminé à 1.254,20 dollars vendredi, contre 1.265,90 dollars le vendredi précédent.
L’once d’argent a clôturé à 16,56 dollars, contre 17,09 dollars il y a sept jours.
Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) sont parvenus à se stabiliser, malgré des craintes renouvelées pour la demande chinoise et un net renforcement du dollar dans le sillage du compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed).
En outre, les prix des métaux industriels souffraient également d’inquiétudes ravivées concernant la santé économique de la Chine, premier consommateur mondial de ces matières premières, dont les dernières données sur la production industrielle et le secteur de la construction se sont révélées particulièrement décevantes.
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s’échangeait à 4.623,50 dollars vendredi, contre 4.642 dollars le vendredi précédent, l’aluminium valait 1.569 dollars la tonne, contre 1.538 dollars, le plomb valait 1.697 dollars la tonne, contre 1.718 dollars, l’étain valait 16.400 dollars la tonne, contre 16.765 dollars, le nickel valait 8.565 dollars la tonne, contre 8.620 dollars et le zinc valait 1.887 dollars la tonne, contre 1.878,50 dollars.