La campagne électorale des présidentielles s’est terminée dans un climat de tension. Vers ou va donc l’Algérie au-delà du 17 avril ? Pour situer les nouveaux défis, l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie, AbderahmaneHadj Nacer est à 9h30 en direct sur Radio M.
Peut-on encore croire à la Réforme en Algérie après le 17 avril ? La campagne électorale n’a pas permis de s’appesantir sur les grands thèmes stratégiques qui interpellent le futur algérien. Plus dans la mondialisation ou moins ? Avec quels nouveaux atouts en dehors de l’offre d’énergie ? Avec quel positionnement régional ? L’Europe comme opportunité ou comme menace ? Jusqu’où l’Algérie peut-elle espérer compter sans le Maghreb ? Abderrahmane Hadj Nacer a réfléchit à sa manière au « front intérieur » que les candidats à la présidentielle ont appelé « à renforcer ». Avec quel type de gouvernance ? Faut-il encore avoir indéfiniment peur de la vérité des urnes lorsqu’on prétend avoir mis le pays sur les bons rails, avec 190 milliards de dollars en réserve de change ? L’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie est un citoyen impliqué. Disponible pour aider les think tank à produire de nouvelles idées, pour construire des passerelles avec les hommes de bonne volonté au Maghreb et de l’autre côté de la Méditerranée. Il en ressort un analyste percutant de la situation du pays… et du monde. C’est avec lui que l’invité du direct va donc tenter de cerner les contours de la conjoncture algérienne à la veille d’une élection présidentielle devenue très problématique au fil des semaines. Hassan Haddouche journaliste économique sera aux côtés de El Kadi Ihsane pour entretenir l’invité du direct sur Radio M. Cela commence à 9h 30 ce mardi matin et Radio M est accessible à partir de la page d’accueil de Maghreb Emergent.