Pour faire face au branchements illicites ainsi qu’au pillage des câbles, le groupe public a créé des brigades chargées de contrôler les réseaux et d’intervenir rapidement en cas de vol ou d’infractions.
Le P-DG du groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab, a affirmé, en marge d’une journée d’étude sur la sûreté interne des établissements du groupe, que « le nombre de branchements illicites sur le réseau électrique de l’entreprise publique a nettement diminué ».
Ce phénomène, avec actuellement les 4 000 cas, a reculé « grâce aux opérations de relogement des habitants des bidonvilles et des habitats précaires qui constituaient pour Sonelgaz une source de fraude », souligne le même responsable. Le responsable ne donnera pas d’autres détails chiffrés en rapport avec l’ampleur du phénomène.
Pour Arkab, le défi actuel de Sonelgaz, « est de préserver et sécuriser les infrastructures énergétiques ainsi que les biens et les personnes ». Pour cela, l’entreprise publique a introduit les nouvelles technologies pour perfectionner son système de sûreté, « tout en veillant à la rationalisation des dépenses », précise le P-DG.
Pour faire face au branchements illicites ainsi qu’au pillage des câbles, le groupe public a créé des brigades chargées de contrôler les réseaux et d’intervenir rapidement en cas de vol ou d’infractions.