Le Chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, a promis, dans la soirée de mardi, que « le dossier des véhicules sera tranché avant la fin du premier trimestre de 2022 », tout en affirmant que c’est un dossier « complexe ».
S’exprimant devant des médias nationaux, Tebboune qui a indiqué que ce dossier sera tranché avant la fin du premier trimestre en cours, a qualifié la question de « très complexe », notamment après « l’échec » de l’expérience du montage de véhicules qu’a vécue l’Algérie ces dernières années.
Il a indiqué que « les taux d’intégration ne doivent pas être inférieurs à 30 ou 40% », soulignant, dans ce sens, que la production des pièces de rechange « sera encouragée ».
Importation et nouvelles conditions
Concernant l’importation des véhicules, le Chef de l’Etat a noté « la possibilité » d’en importer à condition que « les concessionnaires comprennent que les anciennes pratiques ne sont plus tolérées », citant, entre autres dérives, la non-garantie des pièces de rechange par une grande firme européenne qui commercialisait ses produits en Algérie.
Selon le Chef de l’Etat, la garantie d’un service après-vente sera « obligatoire dans le nouveau cahier des charges » qui interdira l’importation à toute personne ne disposant pas de contrats ou de locaux pour garantir ce service.