Le fonds propose aux gouvernements des pays en voie de développement de réduire la pression de la bureaucratie sur les entreprises et de s’ouvrir davantage sur les marchés internationaux.
Dans les pays émergents, 20% des jeunes âgés entre 15 et 24 ans ne travaillent pas et ne font pas, non plus, d’études, un taux qui représente le double de celui enregistré dans les pays développés. Ce constat chiffré a été fait par le Fonds monétaire international (FMI).
Le fonds qui signale, dans un article publié sur son site, que « le coût social et économique de cet écart est considérable », assure qu’une éducation plus longue et de meilleure qualité constitue « une réponse partielle aux attentes des jeunes car dans les pays émergents et les pays en développement ».
La même institution insiste sur l’importance de l’égalité entre les hommes et les femmes sur le lieu de travail dans les pays en voie de développement. « En moyenne, près de 30 % des jeunes femmes (dans ces pays ne sont) ni en activité ni scolarisées, soit presque deux fois plus que les jeunes hommes », relève le FMI.
En outre, le fonds propose aux gouvernements des pays en voie de développement de réduire la pression de la bureaucratie sur les entreprises et de s’ouvrir davantage sur les marchés internationaux.