Entre  2011 à 2017, la tonne de gasoil importée a couté à la Sonatrach une moyenne de 1,15 fois ce que rapportait la tonne de pétrole brut exportée.

  Les seuls pays qui continuent à utiliser, à côté de l’Algérie, sont  l’Irak, le Yémen, le Myanmar, la Corée du Nord et l’Afghanistan.

  Les stocks des pays de l’OCDE ont chuté en mars pour n’être plus que neuf millions de barils au-dessus de leur moyenne quinquennale.

  Selon l’expert, c’est la position de l’Union Européenne vis-à-vis des pays Opep qui risque de provoquer un chamboulement du marché pétrolier.

  Les stocks de brut aux États-Unis ont enregistré, mercredi, un recul de 1,4 million de barils.

  Durant la matinée d’aujourd’hui le prix du Brent a atteint un pic de 78, 98 dollars. 

  La même source informe que la consommation des carburants (hors GPL) sur le marché national a enregistré une baisse de 1,4% au premier trimestre 2018.

  Sonatrach a signé, le mercredi 9 mai à Rome, un accord avec Esso Italiana pour l’acquisition de la raffinerie d’Augusta et de trois terminaux pétroliers en Italie.

  L’Arabie saoudite a déclaré qu’elle prendrait toutes les mesures nécessaires pour empêcher des pénuries d’approvisionnement.

Abdelmoumen Ould Kaddour, PDG de la compagnie nationale d’hydrocarbures a, dans un entretien accordé au quotidien économique français Les Echos, annoncé que la signature du contrat de rachat de la...…